Gary Ruskin
"Il n'y a pas assez de bons côtés pour compenser tous les mauvais."

OUI : Gary Ruskin (Commercial Alert)

Certes, le neuromarketing peut être utilisé à bon escient, pour des campagnes de santé publique, pour rendre inattrayants aux enfants les produits dangereux… Mais il n'y a pas assez de bons côtés pour compenser tous les mauvais. D'ailleurs, même les campagnes de santé publique qui utiliseraient le neuromarketing pour faire porter leurs arguments ne seraient pas si bonnes : le principe de ces spots est de faire peur, alors qu'il est démontré qu'il est beaucoup plus efficace d'éduquer.

 


Cécile Guerel
"Le neuromarketing peut aider à rendre la prévention routière plus efficace."

NON : Cécile Guerel (En Tête)

Aujourd'hui, les spots de prévention sur la sécurité routière sont effectivement très mauvais. Et le neuromarketing aide à comprendre pourquoi : le cerveau élimine ce qui est trop négatif. Certes, à froid, on se rappelle la scène d'accident représentée dans le spot. Mais quand on est confronté à une situation dangereuse en voiture, on est trop proche du traumatique et la publicité ne nous vient plus à l'esprit. On pourrait justement utiliser le neuromarketing pour concevoir une séquence qui porte réellement ses fruits. Ne serait-ce pas fantastique ?


 

Réalisé par Flore Fauconnier 20/02/2007

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